vendredi 7 septembre 2007

psychotrope part 4

2 commentaires:

Anonyme a dit…

d'autres façon de s'échapper dans un ailleurs d'où on revient parfois...

je sais pas si j'en suis revenue mais par la force des choses, la réalite se présentera petit à petit à moi..ça a d'ailleurs déjà pas mal commencé...je doute que ce soit fini, mais je pense sincèrement que pour continuer d'apprécier la vie faut vivre dans un rêve, parfois douter mais ne jamais s'effondrer...voir la vie et les choses avec des petites étoiles dans les yeux et toujours y croire un peu, y a des bas, des hauts, des très bas et des très hauts, des très très bas et des très très hauts...mais il faut toujours nager où on a pieds sinon, à trop en vouloir, on risquerait de se noyer dans l'illusion de notre bonheur...
savoir trouver la drogue...tu te rappelles y'a quelques temps, on se demandait quelle était la "drogue" que nous avions en commun...je crois qu'elle est en nous, elle est puissante, on commence à l'apprivoiser doucement, mais on ne tient pas encore, par contre, on est facilement accro, si on la lâche, on fait face à notre réelle existence d'où le rêve s'échappe, et une vie sans rêve...c'est plus grand chose (même si on vit pas pour ses rêves ;)
Avec le temps cette drogue, c'est nous qui la contrôlerons et là je pense que...

on gagnera la guerre contre la réalité, faut croire en l'utOpie et que surtOut celle-ci reste ce qu'elle est...

"comme si ça me faisait pas quelque chose..."

tchOù'tchOµ...faisait le pti' train d'la vie...il ne peut pas faire demi-tour mais le train a 2sens donc 'suffit que le conducteur change de côté et il avancera toujours le conducteur, le train...

on est des machines à rêves, c'est ce qui fait notre qualité d'humain, notre défaut?!, c'est peut-être que nous avons justement conscience que tout ceci n'est qu'un profond rêve...
faisons qu'il soit éternel, ou, au moins, qu'il accompagne notre courte, rude et belle existence

à toi de jouer à l'artiste (zones d'ombre, de lumière...)

Sur ces paroles d'élan positif de la part d'une mandarine un peu perdue dans sa corbeille de fruits..je trace quelques notes de sourire sur ton visage et déverse quelques jolies p'tites étoiles dans tes yeux**

<3

Anonyme a dit…

Sortons du Rêve!
BONJOUR Réalité!
Pas très enchantée de te connaître très chère Réalité, mais le Rêve m'a laissé sur le chemin...falait bien que j'aille quelque part et je viens frapper à ta porte. Un peu lâche mais j'aurai le temps d'apprendre à t'apprivoiser Madame la Réalité. Monsieur le rêve, n'est pas ton ennemi mais ton voisin, entre Toi et Lui, il n'y a qu'un pas; alors me vOilà.
Je sais qu'il n'y a qu'un mur entre le Rêve et la Réalité.
Je vais vous faire une confidence Madame la Réalité: j'ai toujours pensé que Monsieur le Rêve et vous, Madame Réalité, étaient bien plus que voisins et que la cohabitation était sans nul doute possible.
ERREUR!
La brouille est définitive entre les deux.
Dans mon cas, je considère encore que le Rêve a été réél, mais la réalité est là, le rêve pas loin...[il n'y a qu'un pas]
Cette année ne fait que commencer, et même si elle ne portera pas les fruits auquel je m'attends depuis longtemps déjà..je pense que la Clémentine sera maintenant d'autant plus difficile à éplucher...la Réalité te rajoute des couches sur la gueule et les gens appellent ça "l'endurcissement".
Je visite le vaste appartement de Madame la Réalité. Je pense que j'y suis pour un moment, peut-être que je m'y installerai...mais ma tête, mes pensées, mon coeur seront toujours chez Monsieur le Rêve. De toute façon pour vous affronter Madame la Réalité, vaut mieux abandonner tout ça.
La profondeur du Rêve me manquera.
Quand j'aurai réuni assez d'outils et que je me serais préparer, croyez-moi Madame la Réalité, je ferai tomber ce putain de mur.
Ce n'est sûrment pas pour aujourd'hui, ni pour demain, mais les choses prennent du temps, et chaque chose à son temps, alors même si c'est dur, je saurai être patiente.

Voilà quelques dernières pensées que je laisse passer sous la porte du voisin qui m'a hébergé jusque là.
J'ai pas payé le loyer, il m'a virer sans chichis.
J'ai fait du porte à porte, et Madame la Réalité m'a laissé entrer (et je dirai pas qu'elle m'a accueilli..)
Chez elle, il y avait pas mal de monde, des névrosés superficiels...peut-être que ma place est là. En attendant...j'y suis, j'y reste.